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Nestlé investit dans la médecine traditionnelle chinoise

Nestlé investit dans la médecine traditionnelle chinoise

28 Novembre 2012

Par AFP

Nestlé, numéro 1 mondial de l’alimentation, investit dans la médecine traditionnelle chinoise. Il a signé un accord de joint-venture avec le groupe chinois Chi-Med.

RechercheLes deux groupes ont décidé de créer une nouvelle société appelée Nutrition Science Partners Limited (NSP), détenue à 50/50.

Aucun détail financier de l’opération n’a été divulgué.

NSP va développer et fabriquer de nouveaux produits nutritionnels à base de plantes botaniques.

Cet accord de partenariat donnera à la division Nestlé Health Science l’accès au secteur de la médecine chinoise traditionnelle, ajoute le communiqué.

NSP va se concentrer sur le secteur gastro-intestinal et pourrait dans le futur s’intéresser aussi aux maladies du métabolisme et aux maladies neurologiques.

Conformément au nouvel accord, Nestlé aura accès à une banque de données de la médecine traditionnelle chinoise comprenant plus de 50’000 extraits originaires de plus de 1200 plantes.

Pour le bénéfice des patients et des actionnaires

«Cet accord de joint-venture donne à Health Science l’opportunité de développer et de commercialiser une nutrition réellement innovative et validée sur le plan scientifique à base de plantes pour des soins adaptés au secteur gastro-intestinal», a déclaré Luis Cantarell, directeur général de Nestlé Health Science.

De son côté, Christian Hogg, directeur général de Chi-Med, a déclaré être sûr qu’avec cette joint-venture de «nouveaux produits médicaux et nutritionnels vont pouvoir être mis sur le marché pour le bénéfice des patients et de nos actionnaires».

Hutchison MediPharma Ltd, une filiale de Chi-Med, est déjà actif dans ce secteur et est en train de mettre au point des produits, à prendre oralement, pour calmer des maladies inflammatoires de l’intestin.

Son principal composant est l’andrographis paniculata, une plante utilisée en médecine traditionelle chinoise.

Essais cliniques début 2013

Des essais cliniques de ce produit seront lancés début 2013, sous l’égide du nouveau partenariat.Au cours d’une conférence de presse téléphonique, Christian Hogg a précisé que les «produits destinés à lutter contre les maladies inflammatoires de l’intestin représentent un marché de 5 à 6 milliards de dollars par an sur le plan mondial».

«Les plantes sont pour nous le produit phare pour la recherche dans les nouvelles médecines», a-t-il ajouté, et en Chine les produits à base de plante représentent entre 30% et 40% de toutes les ventes pharmaceutiques.

Chi-Med a consacré plus de 10 ans à »cataloguer les produits de la médecine traditionnelle chinoise«, avec plus de »120’000 plantes utilisées en médecine traditionnelle chinoise, et nous avons réussi à les éclater sous forme moléculaire«.

http://www.bilan.ch/entreprises/nestle-investit-dans-la-medecine-traditionnelle-chinoise

L’artémisinine tue 98% des cellules cancéreuses

L’artémisinine, l’herbe qui tue 98% des cellules cancéreuses en seulement 16 heures.

Artémisinine_et_dérivés

L’artémisinine, une plante incroyable ! Selon une série d’études publiées dans « Science de la vie », l’artémisinine, de la « Douce vermouth » du dérivé « d’Artemisia Annua », utilisée en herbologie chinoise depuis plus de 2 000 ans, réduirait les cellules cancéreuses du poumon jusqu’à 28%.

Et combinée avec le fer, cette plante incroyable qu’est l’artémisinine tue 98% des cellules cancéreuses en seulement 16 heures. L’artémisinime n’attaque sélectivement que les «mauvaises» cellules, sans affecter les tissus sains.

Un remède antipaludéen

artémisinine
Feuilles d’Armoise annuelle

Déjà reconnue comme un remède antipaludéen puissant et contre la fièvre, son plus ancien usage formulé par écrit figure dans un texte appelé: Recettes pour cinquante-deux maladies (chinois traditionnel : 五十二病方 ; pinyin : Wǔshí’èr Bìngfāng) datant de 168 av. J.-C. et découvert, parmi d’autres textes ayant traits à 283 traitements médicaux différents, dans une tombe mise à jour sur le site de Mawangdui.

«En général, nos résultats montrent que l’artémisinine arrête le facteur de transcription ‘E2F1’ et intervient dans la destruction des cellules cancéreuses du poumon, ce qui signifie qu’elle présente un moyen de transcription selon lequel l’herbe contrôle la croissance des cellules cancéreuses de la reproduction », a-t-on indiqué dans la conclusion des recherches menées dans le laboratoire du cancer à l’Université de Californie.

Une vaste étude

La Revue des Sciences de la Vie a présenté une étude de l’Université de Washington, menée par les Drs Narenda Singh et Henry Lai. Jusqu’à présent, cette étude est la plus vaste faite sur l’artémisinine aux États-Unis.

L’artémisinine a fait ses preuves

En utilisant une radiation de nature résistante au rayonnement des cellules du cancer du sein (qui avaient aussi une forte propension à accumuler le fer), l’artémisinine a fait ses preuves avec un taux de 75 % de destruction du cancer après seulement 8 heures et presque 100% de taux de destruction en seulement 24 heures.

Les dépôts de fer dans les cellules cancéreuses étaient faits avec des récepteurs spécifiques pour aider la division cellulaire. Les cellules normales ont également ces récepteurs mais les cellules cancéreuses en ont la plus grande quantité et en fonction de cela, les cellules cancéreuses peuvent être une cible de combinaison de fer et d’artémisinine.

Une combinaison gagnante !

De nombreuses expériences ont été menées jusqu’à présent et elles ont toutes prouvé que l’artémisinine combiné avec le fer pouvait effectivement détruire le cancer, et que cet extrait avait été utilisé en Chine depuis des milliers d’années comme remède contre le paludisme.

Le parasite du paludisme ne peut pas survivre en présence d’artémisinine car il est riche en fer. Les bio-ingénieurs Henry Lai et Narendra Singh de l’Université de Washington ont été les premiers scientifiques à le découvrir.

http://actumag.info/2014/05/07/artemisinine-tue-cellules-cancereuses/

Qui est responsable de la diminution du nombre d’éléphants, de rhinocéros et de tigres ?

Qui est responsable de la diminution du nombre d’éléphants, de rhinocéros et de tigres ?

01.08.2013 à 16h35

Le Quotidien du Peuple-Edition d’outre-mer

Photo de Diététique Traditionnelle Chinoise.

Ces derniers temps, l’opinion selon laquelle la diminution du nombre d’éléphants, de rhinocéros et de tigres est due à la Chine a fait le buzz dans le monde. Néanmoins, ce point de vue est un jugement partial portant une forte empreinte de subjectivité. Lors d’un entretien exclusif accordé au Quotidien du Peuple, Meng Xianlin, directeur du Bureau national d’administration de l’import-export des espèces menacées d’extinction de Chine, a expliqué la baisse continue du nombre des animaux sauvages par plusieurs facteurs, entre autres quatre causes importantes : la réduction de l’habitat, le braconnage pour la subsistance, les catastrophes naturelles, le manque de surveillance et de contrôle efficaces de la part des pays d’origine.

Malgré les malentendus chez les Occidentaux envers la Chine au sujet des aspects de la tradition culturelle, de l’idéologie et de l’intérêt d’Etat, la Chine joue toujours le rôle d’un grand pays responsable qui fait de son mieux dans la protection des animaux sauvages et participe activement à la coopération internationale dans la lutte contre le commerce illégal animalier. Ce qui a été reconnu par de plus en plus de personnes sur la scène internationale. Une preuve : la Chine s’est vue décerner à deux reprises le ‘Certificat d’honneur du Secrétaire général de la CITES’ (la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction), du jamais vu dans le monde.

« Ces dernières années, certaines organisations internationales ont fait une analyse sur les chiffres de l’économie chinoise et les revenus des habitants chinois, qui a abouti au résultat que la forte hausse du nombre d’animal sauvage braconnés est en corrélation positive avec la croissance de l’économie chinoise. Ils croient qu’une fois enrichis, les Chinois achètent de l’ivoire comme un objet à bas risque de dévaluation, ce qui a beaucoup attisé le braconnage », a indiqué Zhang Shanning, directeur général du Bureau national d’administration de l’import-export des espèces menacées d’extinction de Chine, lors d’une interview accordé au Quotidien du Peuple.

« C’est effectivement un jugement subjectif sans fondement. Aucune preuve n’est disponible jusqu’à présent pour trancher que les Chinois utilisent leurs revenus disponibles pour acheter de l’ivoire. La situation déplorable du braconnage des animaux sauvages en Afrique est le résultat de plusieurs éléments et n’a rien à avoir avec la croissance économique chinoise », a ajouté Zhang Shanning.

Kan Daoyuan, professeur de politique à l’Institut national des cadres fiscaux de Chine, partage a également fait part de son point de vue sur le sujet. « L’opinion qu’il faut imputer à la Chine la diminution du nombre d’éléphants, de rhinocéros et de tigres tire en fait son origine des différences de traditions culturelles, idéologiques et des intérêts d’Etat des pays. »

Le malentendu quant à l’aspect de tradition culturelle est dû au manque de connaissance sur la médecine traditionnelle chinoise (MTC). Dans les théories de la MTC, les os et la fourrure de tigre et les cornes de rhinocéros sont des médicaments précieux qui sont efficaces pour le traitement de certaines maladies. C’est pourquoi l’ONG TRAFFIC (en anglais Trade Records Analysis of Flora and Fauna in Commerce) et le WWF partagent l’idée que la MTC est à l’origine de la baisse du nombre de certaines espèces animales et végétales déjà en danger.

« Dans l’histoire de la MTC, certains animaux sauvages étaient considérés comme un médicament. Cependant, avec la sensibilisation à la protection des animaux sauvages et le développement des techniques d’élevages des animaux aux fins d’utilisation médicale, braconner les animaux sauvages pour obtenir des médicaments est devenu très rare. Aujourd’hui, la Chine a déjà établi un système strict de protection des animaux sauvages et a aussi réalisé un approvisionnement industriel de la plupart des espèces animales à des fins médicales. Un tel point de vue est causé par un manque de connaissance sur le développement de l’industrie de la MTC », a analysé Liu Zhanglin, vice-président de la Chambre commerciale des importateurs-exportateurs de médicaments et de produits de santé de Chine.

De plus, la Chine a depuis 1993 interdit l’utilisation des os de tigre comme médicament et a publié spécifiquement un décret interdisant le commerce des cornes de rhinocéros et des os de tigre, qui a également effacé ces deux produits animaux de la liste des médicaments traditionnels chinois. Une série de lois et réglementations a été ensuite promulguée pour mieux protéger les espèces animales qui sont médicalement exploitables.

Actuellement la Chine a déjà mis en place un réseau de réserves naturelles qui a une large couverture et est performant, ce qui lui permet de bien protéger 90% des sortes d’écosystèmes terrestres, 85% des espèces animales sauvages et 65% des groupes de plantes terrestres.

Une plante chinoise contre la polyarthrite

Une plante chinoise contre la polyarthrite

[15 avril 2014 – 17h13] [mis à jour le 15 avril 2014 à 17h31]

La polyarthrite rhumatoïde est caractérisée par des douleurs au niveau des articulations, des mains notamment. ©Phovoir

Une plante utilisée en médecine traditionnelle chinoise pourrait remplacer ou renforcer l’action du méthotrexate, indiqué notamment dans la prise en charge de la polyarthrite rhumatoïde. Cette association atténuerait les symptômes de la maladie tels que douleurs et inflammations des articulations.

Tripterygium wilfordii Hook F. Cette plante, plus simplement appelée TwHF, est utilisée en médecine traditionnelle chinoise dans la prise en charge des douleurs articulaires. A l’image de celles de la polyarthrite rhumatoïde. Une équipe américano-sino-américaine a comparé l’efficacité de ce traitement à celle du méhtotrexate dans cette indication.

Parmi 207 patients souffrant de cette pathologie, trois groupes ont été constitués, tous suivis pendant 6 mois. Les participants du premier ont reçu 12,5g de méthotrexate par semaine. Ceux du second ont été traités uniquement avec 20mg de TwHF. Quant au dernier, il a bénéficié d’une combinaison des deux substances.

Une alternative au méthotrexate

Pour évaluer la réponse au traitement, les auteurs se sont basés sur une mesure établie par l’American College of Rheumatology. D’après ce dernier, un traitement s’avère efficace lorsqu’il a soulagé de moitié les symptômes des malades. Résultat, les membres du groupe TwHF ont été plus nombreux (55%) à voir leurs symptômes sensiblement atténués, par rapport à ceux du groupe méthotrexate (46,5%).

Le meilleur résultat se situe toutefois parmi les participants du dernier groupe. Ceux-ci sont parvenus à 77% de réduction des symptômes grâce à la combinaison thérapeutique. Certes, « 24 semaines représentent un temps trop court pour évaluer la progression de la maladie », relèvent prudemment les auteurs. Et « les doses de méthotrexate étaient, dans l’étude, inférieures à celles habituellement administrées aux patients. » Toutefois, « le TwHF pourrait être proposé à ceux qui ne répondent pas au méthotrexate », concluent-ils.

Source : British Medical Journal (BMJ), 14 avril 2014
https://destinationsante.com/plante-chinoise-la-polyarthrite.html

10 produits anti-vieillissement naturels

10 produits anti-vieillissement naturels de la médecine traditionnelle chinoise

© Chine InformationsLa Rédaction, le 05/01/2013 03:30, modifié le 28/04/2014 04:43

La peur de vieillir est une appréhension qui touche l’ensemble de la population humaine. Cette sensation de perdre en vigueur et les avantages de la jeunesse occupe tant l’esprit des femmes que des hommes. L’apparition de chaque ride sur le contour des yeux ou sur le front est un évènement relativement inquiétant. Pourtant, la réalité est que cette préoccupation permanente n’a d’effet que renforcer le processus inéluctable du vieillissement.

La suggestion la plus prometteuse qui pourrait être faite pour pallier ces déconvenues réside dans la considération des apports de la médecine traditionnelle chinoise.

Voici une liste de dix produits naturels qui agissent contre le vieillissement : 

N°10 – Fengwangjiang ou la gelée royale

Parmi ses nombreuses vertus, la gelée royale constitue un produit apprécié des connaisseurs en raison de son apport nutritif important qui contribue à simplifier la synthèse protéique ainsi que la croissance cellulaire, à favoriser le fonctionnement du métabolisme corporel et améliorer la régénération tissulaire. D’autre part, compte tenu de sa teneur riche en vitamines C et E, la gelée royale représente un remède efficace contre le vieillissement.

N°9 – Jiaogulan ou Gynostemma

Dans l’histoire, il n’existe aucune preuve tangible de l’efficacité de cette plante. Toutefois, certaines recherches ont pu démontrer qu’elle jouerait un rôle sur le ralentissement du vieillissement, la lutte contre le cancer, l’adaptation des facteurs endocriniens, l’apaisement des douleurs et stimulerait l’énergie

N°8 – Hongjingtian ou Rhodiola

Tout comme le précédent produit, la rhodiola ne présenta pas de trace dans la médecine chinoise ancestrale. La plante est effectivement assimilée à un remède anti-vieillissement récent. L’on a constaté que cette médecine permettait une avancée remarquable en termes d’accroissement de vitalité, de réduction des effets de chaleur, de détoxification corporelle et de tranquillisation.

N°7 – Gouqizi ou goji chinois

Il s’agit d’une plante qui possède des vertus bénéfiques pour les muscles et les os. Elle est également efficace dans les régimes pour perdre du poids et rallonger la vie. Plus encore, ce produit présente des caractéristiques comparables au ginseng. Elle est donc relativement efficace quand il est question de pallier aux problèmes de tonus, d’artériosclérose et de sénilité.

N°6 – Lingzhi ou Ganoderma

Le produit alimente le Qi du foie et régit le système nerveux. La médecine chinoise assimile le lingzhi à un réducteur de masse corporel qui permet de prolonger la vie, en opérant une action ciblée sur les systèmes du corps les plus touchés par le vieillissement.

N°5 – Ciwujia ou Acanthopanacis Senticosi

Une utilisation prolongée du produit agirait de manière bénéfique sur le poids et défendrait l’individu contre le vieillissement. Un vieux dicton chinois dit d’ailleurs « Mieux vaut une poignée de Ciwujia qu’une charretée d’or et de jade. » Les études modernes ont permis de valider partiellement les bienfaits de la plante. Elle soutient notamment contre la fatigue, le vieillissement et apporte du tonus. En outre, le produit rééquilibre les systèmes nerveux, endocrinien et cardiovasculaire.

N°4 – Sanqi ou Pseudo-ginseng

Le ginseng reste le produit le plus indiqué pour le traitement du Qi d’un malade, tandis que le pseudo-ginseng possède une vertu incontestable dans la tonification du sang. Si les deux plantes présentent le même goût, leurs effets ne sont donc pas les mêmes. L’importance de la teneur en saponine dans le Sanqi lui vaut un avantage sur le ginseng pour la lutte contre les inconvénients cardiovasculaires.

N°3 – Renshen ou Ginseng

Le Ginseng constitue l’une des médecines chinoises les plus connues internationalement. La plante permet en outre de renforcer l’action des organes internes, de réguler les nerfs, de favoriser la vue et l’aptitude mentale. Un emploi régulier et prolongé va rallonger la vie et faire indéniablement mincir. Dans notre société moderne, il a été démontré que le ginseng possède des bienfaits réels grâce à des caractéristiques anti-oxydantes, anti vieillissement, et contre la fatigue. Il joue également une fonction primordiale dans la protection du foie et du système cardiovasculaire.

N°2 – Huanqgi ou Astragalus Mongholicus

Selon la médecine chinoise, la rate et l’estomac constituent les parties du corps les plus importantes pour s’assurer une bonne santé. Le Huanqi joue un rôle majeur sur ces organes. Il peut notamment interférer sur le fonctionnement des artères coronaires selon les études modernes, sur le flux sanguin en direction du coeur, ainsi que sur le système immunitaire et dans le ralentissement du vieillissement.

N°1 – Heshouwu, Polygonium multiflora

Un ancien texte chinois mentionne que le recours fréquent au Heshouwu permet de renforcer les muscles, les os et la moelle osseuse, tout en prolongeant la vie. La plante présente des attributs notoires pour la croissance des cellules nerveuses et pallier les conséquences de la neurasthénie et des maladies neurologiques. De même, elle agit sur le cholestérol, sur le diabète et est assimilée à un antioxydant.

http://www.chine-informations.com/actualite/produits-anti-vieillissement-naturels-de-la-medecine_50462.html

Les plantes qui soignent : le ginseng pour la tête et pour le corps

Les plantes qui soignent : le ginseng pour la tête et pour le corps

Plante mythique d’Extrême-Orient, elle fait partie de la pharmacopée de la médecine chinoise depuis près de 7 000 ans, notamment comme fortifiant.

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Publié le | Le Point.fr
En cas d'épuisement chronique, il faut lui adjoindre le cassis ou la réglisse (tous deux anti-inflammatoires).
En cas d’épuisement chronique, il faut lui adjoindre le cassis ou la réglisse (tous deux anti-inflammatoires). © SIPA/ Ramde Dinesh/AP